Avant, je voyais des corbeaux dans les pigeons, les aigles et les bécasses, les jeunes cygnes, et les oisillons de toute sorte, et les plumages éclatants.
Je lisais ceux qui sont morts avant moi, en pointant le blanc de l'oeil sur les cieux vides.
Mais les corbeaux sont arrivés, et leur ombre glisse sur la lumière tranchante.
J'ai écouté tous les langages pénibles que portaient les vents de saison, j'ai survécu à toutes les nuits passées à entendre battre mon coeur, et dans les poussières de miroir, je croyais admirer celui que j'avais été, quand je regardais celui que j'allais devenir. J'ai imprimé une onde sur toutes les surfaces vitreuses, attendant que quelque chose en sorte. J'ai - je ne sais plus. Je ne veux plus savoir.
Les corbeaux sont arrivés et ce n'est écrit dans aucun carnet.
J'ai trouvé une place pour apaiser la vie.
Hadouken-For the masses
Dédié a S.G
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